<< Il y a des souvenirs qui ne périrons jamais.
Je suis heureux d'avoir écrit ces quelques mots,
Qui résument parfaitement, l'immense souvenir,
De bonheur et de drame, vécu dans ce qui était
Alors, une partie de la France. >>
Regardez le blog en musique
"les Bains- Romains"
Jean claude Riera Carrosi Colombani.
<< Il arrive que je l'oublie, souvent je m'en souviens >>
Tout en rondeurs en harmonie.
Avec son collier de cabanons de pitchpins,
l'odeur de ces longs roseaux
aux pieds embaumés de capucines.
Le ciel bleu à l'infini. L'ombre les lumières.
Avec son collier de cabanons de pitchpins,
l'odeur de ces longs roseaux
aux pieds embaumés de capucines.
Le ciel bleu à l'infini. L'ombre les lumières.
Mer adoucie de soleil,
merveilleux rivage.
Souvenirs qui se faufilent
dans les angles de ma mémoire.
Ou es-tu maintenant ?
Nos pas dans le sable ardent,
nos jeux d'enfants.
Cette éclatante mer bleue
qui s'amusait à nos pieds.
Te souviens-tu, de la brûlure de son soleil, des solitudes, de nos espérances,
de nos rêves.
Sable argentin, de tous nos désirs.
Mer resplendissante de ses bleus.
Éclat perpétuel notre royaume.
Te souviens-tu, Jean-Marc, Hervé, Jean Louis...
Quand venait au loin cette longue
ondulation, ces puissantes vagues.
Chevaucher le mouvement, l'excitation,
son illusoire immobilité .
Dans ce coin de mon enfance,
mémoire de ses barques de pêcheurs,
ses poissons aux couleurs lumineuses,
souvent argentées,
la fratrie de ses poulpes emmêlés...
Le rocher "la bosse du chameau"
pour sa noble et haute rondeur,
lieu de tous nos défis.
ces longues plongées dans le bleu,
les courses aux oursins multicolores.
Nos jeux du bord de mer,
les riches matinées sur le sable brûlant,
clignant des yeux devant l'éblouissant Phœbus...
Au bout des soirs, la plage des algues,
de nos rêves.
Sable argentin, de tous nos désirs.
Mer resplendissante de ses bleus.
Éclat perpétuel notre royaume.
Te souviens-tu, Jean-Marc, Hervé, Jean Louis...
Quand venait au loin cette longue
ondulation, ces puissantes vagues.
Chevaucher le mouvement, l'excitation,
son illusoire immobilité .
Dans ce coin de mon enfance,
mémoire de ses barques de pêcheurs,
ses poissons aux couleurs lumineuses,
souvent argentées,
la fratrie de ses poulpes emmêlés...
Le rocher "la bosse du chameau"
pour sa noble et haute rondeur,
lieu de tous nos défis.
ces longues plongées dans le bleu,
les courses aux oursins multicolores.
Nos jeux du bord de mer,
les riches matinées sur le sable brûlant,
clignant des yeux devant l'éblouissant Phœbus...
Au bout des soirs, la plage des algues,
innocent paradis, lieu de nos confidences.
Ces pêcheurs venus d'un autre rivage
d'une autre époque,
nous confessaient les secrets de la mer.
C'était septembre la fin d'été
quand la lumière ne hurle plus...
Tardivement, on se parle on se promet,
c'est le temps fragile,
on est dans le lointain des choses,
un lointain impossible.
Parfois encore je les entends rirent...
On espère renaitre,
c'est le temps des souvenirs.
Une belle histoire, avec si peu.
Mémoire de ce rien, immense
comme un océan.
J’écoute souvent murmurer,
la voix bleue de la noble
Méditerranée
La mer nous avait réuni,
l'histoire nous a arraché séparé perdu.
Ces pêcheurs venus d'un autre rivage
d'une autre époque,
nous confessaient les secrets de la mer.
C'était septembre la fin d'été
quand la lumière ne hurle plus...
Tardivement, on se parle on se promet,
c'est le temps fragile,
on est dans le lointain des choses,
un lointain impossible.
Parfois encore je les entends rirent...
On espère renaitre,
c'est le temps des souvenirs.
Une belle histoire, avec si peu.
Mémoire de ce rien, immense
comme un océan.
J’écoute souvent murmurer,
la voix bleue de la noble
Méditerranée
La mer nous avait réuni,
l'histoire nous a arraché séparé perdu.
Hervé, Jean Louis, Jean Claude, Jean Marc.
Texte, dessins:
Jean claude Riera Carrosi Colombani.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire